Je m’appelle Gaël, et voici mon histoire.
Si vous cherchez du sens, de l’aplomb, un cap dans ce monde incertain : lisez.
Ces mots sont pour vous.
Vous n’êtes pas seul. Vous ne l’avez jamais été.
Alors je l’ai cherché dans une faculté de design.
J’ai voulu apprendre l’ergonomie, les règles du bel outil.
J’ai hésité, puis changé de voie avec pour objectif de survivre la prochaine fois, sans être dépendant du destin.
Mais ce qu’il fallait apprendre était dispersé.
J’ai donc fait le choix d’une vision globale : l’armée, la sécurité privée, videur dans le monde de la nuit, le secourisme, les arts martiaux, puis les pompiers volontaires.
!
Dans leur absence, ils ont laissé un peu d’argent.
Afin d'honorer leur mémoire et de transformer ce moment en quelque chose de beau,
j’ai créé Undersurvival.
Malheureusement, construire une société ne s’improvise pas.
Malgré mes dix années d’expérience, mon entraînement martial, mes tests sur le terrain et ma volonté de créer quelque chose d’utile et de grandiose,
j’étais à deux doigts d’y rester.
J’ai envoyé du matériel en échange de visibilité que je n’ai jamais eue.
J’ai été convaincu par de beaux discours, j’ai perdu beaucoup d’argent pour des résultats médiocres.
Il m’a fallu du temps pour comprendre comment tout fonctionne.
Mais, malgré tout, quelques alliés précieux m’ont permis de grandir.
L’art du combat par des professeurs incroyables.
Je suis devenu armurier, formé par un maître et son élève qui sont à présent mes amis.
Ou devrais-je dire “étaient” : Thomas, l’élève, nous a quittés juste après le documentaire que nous avons fait ensemble.
Il rejoint ceux que j’honore en travaillant chaque jour sur Undersurvival.
Quelques-uns ont commencé à s’y intéresser.
Aujourd’hui, 77 000 compagnons de route observent mon aventure sur les réseaux sociaux.
Le site internet sur lequel vous me lisez, je l’ai refait quatre fois dans son intégralité.
Toutes mes économies y sont passées.
Mais, malgré tout, j’ai tenu.
Pour que vous évitiez les erreurs.
Et les nuits sans sommeil.
Je suis là pour vous faire gagner du temps.
Mais surtout,
pour que vous deveniez le prochain porteur de connaissance,
un de ces veilleurs à la lanterne qui protègent le monde.
Et déjà, vos proches dorment mieux.
À leur réveil, ce n’est plus moi qui vais conseiller, mais vous.
