Par
Tacline
Tu peux retrouver une version en Anglais de cet article en bas de page, après la version Française. C’est exactement la meme chose. Bonne lecture !
You can find an English version of this article at the bottom of the page, following the French version. It’s exactly the same thing. Enjoy your reading!
Attaque couteau Annecy
Ce jeudi 8 juin 2023 à Annecy durant la matinée, un homme de 31 ans, réfugié syrien, attaque au couteau des enfants, des mamans et des gens au hasard dans un parc.
Il à blessé six personnes, quatre enfants dont deux en urgence vitale.
Des victimes âgées de 22 à 36 mois pour les tout-petits.
Un papy de 78 ans a été blessé au couteau puis par une balle de la police qui tentait d’arrêter l’assaillant.
L’individu est arrivé en France en 2022. Sa démarche pour séjourner dans le pays a été refusée.
Il ne parle pas Français mais anglais et vit dans la rue.
Apparemment il n’a pas consommé de drogues
C’est un ancien militaire syrien ayant été en activité au début de la guerre civile
Déjà quand tu vas dans un pays et que tu fais des démarches administratives pour y vivre, apprendre la langue c’est le minimum. Le syrien est là depuis huit mois et il ne parle pas du tout français.
En un an, il est tout à fait possible d’acquérir les bases pour pouvoir communiquer. Il te suffit d’utiliser des applications comme duolingo, regarder des films en version originale sous titré original et de bosser.
Même si en l’occurrence, la situation de l’attaquant était complexe. SDF en pleine dépression. Son ex-femme à préférée restée en Suède quand lui a été expulsé. Il se retrouve donc seul, à la rue et ses demandes sont refusées.
En France on a une politique migratoire bien moins rude que dans certains pays comme le canada. Le problème, c’est qu’accueillir des gens c’est une chose mais assurer un suivi psychiatrique réel c’est autre chose.
Or ici on a un individu en perdition qui n’est pas du tout géré par la communauté. Il y a donc un manque énorme de moyens pour prendre en charge en plus de simplement accueillir.
Depuis le mouvement Woke et même avant, accueillir les pauvres réfugiés de zones de guerre est considéré comme quelque chose de charitable, de normal et de profondément bienveillant.
Sauf que le problème c’est que ceux qui parlent en ces termes vivent bien souvent dans des quartiers riches à Paris. Donc dans un pays sécurisé ou la violence reste bien plus limitée que dans d’autres régions du monde.
Aider les gens c’est bien mais ici on se retrouve face à une population qui à vécu ou fait vivre des atrocités. Ils ont donc un autre rapport à la violence.
Nous faisons face, ici, à un choc des cultures.
L’état de sidération. L’apathie, l’incompréhension que l’on peut lire sur le visage des passants et des victimes sont induites par cet environnement sécurisé.
Nous ne sommes pas dans une zone de guerre mais surtout nous ne sommes pas exposés aux risques.
Les pompiers interviennent très vite, la police également. Et dès qu’il y a violence, elle est très vite effacée.
À force d’avoir d’autres personnes qui font le sale boulot, les gens deviennent inconscients des dangers potentiels. Ils se ramollissent. Au point de ne même pas comprendre ce qu’il se passe.
Notre travail, dans la Undersurvival Compagnie, c’est de t’aider à t’en sortir. Pour ce faire nous allons donc analyser la scène puis donner des solutions histoire de sortir de cette apathie généralisée et surtout de ne pas rester sur quelque chose de négatif.
Il utilise un couteau imposant ce qui lui offre une grande allonge. Quand il se sert de son bras c’est l’équivalent à une frappe de jambe vu qu’on y ajoute la taille de la lame. Donc si tu répliques à coups de poing, tu risques de perdre. À noter qu’il porte en pic à glace à un certain moment ce qui réduit son allonge mais augmente la puissance des frappes.
Il porte un short, un pull noir et un bandana sur le crâne avec des lunettes de soleil et des baskets blanches
Vu qu’il est légèrement vêtu, on peut réduire la probabilité qu’il porte un gilet explosif ou une arme à feu d’épaule.
À noter que la capacité de dissimulation d’armes est souvent minimisée. Je t’invite à voir certaines vidéos de gens qui montrent qu’ils portent un fusil à pompe le long de la jambe par exemple. Donc il peut tout à fait avoir une arme de poing.
Il tient un collier en l’occurrence une croix et répète Jésus christ. C’est donc potentiellement une attaque fanatique religieuse.
Il court de façon aléatoire et ne se déplace pas de façon tactique ou réfléchie.
Ce qui montre qu’il n’agit pas comme un professionnel des armes.
Tous les détails évoqués ici permettent d’évaluer la situation. Le diable s’y cache.
Ne comprennent pas ce qu’il se passe car elles sont en code blanc. (cf. suite de l’article)
Elles n’ont pas conscience des choses, c’est irréel. Ça ne peut pas se produire donc le cerveau bug. En plus de ça, les poussettes, les murets empêchent la fuite des mamans.
La poussette devient un poids pour pouvoir s’enfuir. Il est donc intéressant de penser à ce que l’on utilise au quotidien. Cf. EDC, EDB dans le glossaire.
Par contre on ne leur jette pas la pierre. Déjà personne ne peut prédire de comment il va réagir.
Si quelqu’un te dit “Ouais moi je lui aurais fait ça puis ça” c’est qu’il ne comprend même pas ce qu’il raconte.
Même le meilleur force spécial peut se figer. On peut réagir d’une façon le lundi et l’inverse le mardi.Nous sommes de tout cœur avec les victimes et leurs familles. Force et honneur.
Un individu de 24 ans tente d’arrêter l’assaillant. Un énorme bravo à cette personne.
Il se sert de son sac à dos comme bouclier, ce qui est un très bon réflexe. Avec le stress il garde un gros sac de 20 kg sur le dos en plus de celui en bouclier. C’est aussi intéressant de si possible laisser tomber le gros pour être plus mobile.
D’ailleurs, combattre avec un sac change ton point de gravité. Ça ne s’improvise pas.
Le fait de filmer en premier réflexe. On trouve des vidéos de l’agression facilement ce qui est utile pour débriefer mais cela ne doit pas être la chose à faire en premier.
Il faut surtout prévenir les secours qui en plus sont arrivés très vite. Si possible intervenir en groupe sur le forcené et également gérer les blessés.
Et surtout, on remarque que certains ne captent même pas ce qu’il se passe. Ils ne voient pas ce qu’il y a sous leurs yeux malgré les cris. L’argument d’aider la police à retrouver l’individu n’est que secondaire vu la zone. Il y a des caméras partout.
Quatre minutes pour intervenir c’est vraiment très peu. Ceux qui disent le contraire ne savent pas de quoi ils parlent. Même dix minutes pour intervenir c’est très rapide.
De plus, les policiers ne font pas face à ce genre de situations tous les jours. C’est exceptionnel donc dur à gérer.
Je tiens à saluer leur travail et leur intervention. Force à eux.
Concernant le tir reçu par la personne âgée, c’est très difficile vu que l’attaquant était déjà au contact et venait de poignarder la victime. Sans ce tir, il aurait pu continuer et infliger encore plus de dégâts.
On rappelle que l’individu est en train d’attaquer plusieurs personnes dont des bébés et que l’urgence absolue c’est d’arrêter son action.
Il est toujours plus simple d’analyser à froid les images. Sur le terrain c’est le bordel. On ne sait pas combien ils sont vraiment, ce qu’il se passe dans les détails. Tout est flou. C’est le principe de la boucle OODA ou du cycle de Boyd. Observer, s’orienter, décider, agir.
L’attaquant à l’initiative. Il choisit quand il débute. Quand il lance son attaque, il est déjà à la fin de sa boucle alors que toi sur place, tu la commences.
Tu as donc du retard. Tu ajoutes la montée du palpitant, l’adrénaline, la perte de motricité fine, l’effet tunnel, les gens qui hurlent et ça donne un joyeux cocktail d’incompréhension.
On ajoute que le couteau est très discret. Ça ne fait pas de bruit, c’est dur à repérer quand on est loin. Le fou furieux est habillé normalement donc se fond dans la masse ce qui complexifie l’intervention.
Quand j’ai abordé la situation sur le discord, on m’a tout de suite parlé de veste de protection à la john wick.
Le réflexe primaire a été de trouver une solution matérielle pour s’en sortir.
Hors l’équipement c’est le dernier échelon dans la gestion de risque.
On se retrouve donc avec des gens qui commencent par la fin de l’histoire.
Au lieu de chercher un outil, il faut d’abord apprendre les bases. Comprendre les mécanismes de la violence, les types d’agresseurs, comment fonctionne l’agression puis établir des stratégies. Développer ses réflexes mais aussi son corps.
La première stratégie c’est l’analyse de l’environnement. Adapter son niveau de vigilance.
Car il est impossible de maintenir un état d’alerte maximum h24. C’est très fatiguant pour l’organisme.
Au lieu de ça, on va être vigilant en fonction des événements. On va faire preuve d’adaptation et de souplesse.
Imagine que tu es un sous-marin. Tu as un sonar qui scanne tout ce qui t’entoure.
Quand tu es en sécurité, chez toi, porte fermée à clé, tu es en code dit blanc.
Quand tu es hors de chez toi, tu passes en code Jaune.
Dès que tu remarques quelque chose avec ton sonar, un individu louche, une voiture qui surgit vite, un groupe, un bruit, une odeur etc. tu passes en code orange.
Tu noteras ici que le stimulus qui te fait changer de niveau n’est pas que visuel. Un cri, une détonation, une odeur de brûlé sont autant d’indicateurs qui vont te permettre de t’ajuster.
Le rouge c’est quand la situation dégénère, insultes, violences physiques, c’est l’agression
Le noir c’est un état dépassé de sidération. C’est souvent quand tu passes du blanc à la confrontation sans y être préparé. C’est une situation de danger extrême comme un attentat justement.
Je viens de te présenter rapidement le code couleur de jeff cooper.
Si tu portes des outils de défense sur toi notamment si tu es policier en civil par exemple, il est intéressant de venir y ajouter des mouvements réflexes lors de passage de niveau.
Par exemple, quand tu switches du jaune au orange, tu saisis discrètement ton outil ou tu vérifies sa bonne position et tu analyses autour de toi les dangers éventuels.
S’il y a un escalier, un rebord, un poteau, des gens qui seraient potentiellement dangereux mais aussi si tu as des objets utilisables, des choses à mettre entre toi et l’agresseur.
Quand tu passes de l’orange au rouge, tu adoptes une garde passive, tu forces ton regard à rester mobile pour éviter l’effet tunnel, tu durcis ta mâchoire pour éviter de te la faire déboîter sur une frappe, tu gardes la distance etc.
Maintenant que tu connais la façon de rester vigilant, il va également falloir travailler ta posture et ta façon de bouger pour éviter de ressembler à une victime.
Ce que tu dégages quand tu te déplaces, ton aisance va potentiellement te sauver la vie.
Mais pour ça il faut comprendre que tous les attaquants ne se ressemblent pas
Je t’invite à aller voir le travail de Michaël Illouz, Brice Portal, Protegor etc. qui en parlent très bien. Les livres Neurocombat tome I et II sont aussi incroyablement utiles pour comprendre.
Pour faire simple, il existe de la violence de prédation. Comme un loup qui chasse. Le prédateur cherche un gain rapide. Te voler, te violer etc. Il cherche donc une victime. Une proie dont le rapport risque bénéfice est en sa faveur.
Pour ce faire, il va se baser sur ta démarche, ta tenue, ta condition physique, ton âge, ton gabarit et ton attitude.
Le sport va te permettre d’augmenter le risque potentiel perçu par notre premier type d’agresseur. Pour le reste il va falloir faire semblant jusqu’à ce que tu y arrives. Adopte donc une démarche tête haute, tiens toi droit, balaye du regard lentement ce qu’il t’entoure et surtout, le charisme se définit souvent par la lenteur de tes mouvements. Tu es souple, tu occupes l’espace, tu bouges en ayant anticipé les choses.
Apprends à poser ta voix. La rendre puissante quand il le faut mais surtout claire et compréhensible.
Le but pour t’en sortir c’est de le convaincre que ton rapport risques bénéfices est en sa défaveur.
Le second type d’agresseur c’est ceux qui font preuve non pas d’une violence asocio prédatrice mais émotionnelle. Ce sont les impulsifs.
Contrairement à un prédateur qui va réfléchir, l’impulsif n’est pas du tout dans la réflexion et c’est là ou réside le danger.
Il est gouverné par ses émotions. Il se sent attaqué, humilié et va donc potentiellement réagir à l’excès en provoquant de graves blessures.
C’est typiquement un mec qui va sortir une lame car il à perdu un échange verbal ou qu’il s’est fait sortir par un videur. Le mec qui veut laver son honneur.
Il ne pense pas aux conséquences et ne capte pas les signaux de dangers.
Malheureusement, il n’est pas possible de négocier ou discuter avec ce genre de personnes.
Il existe également les violences en groupe qui sont plus complexes avec un ou plusieurs meneurs, des suiveurs et une stimulation de la masse.
Les attaquants sentent leurs responsabilités diluées dans l’ensemble d’individus. Ainsi les frappes sont souvent plus violentes. C’est le fameux penalty au visage.
Chacun veut frapper pour montrer qu’il fait partie de la communauté et qu’il est fort.
C’est une situation très compliquée à gérer.
L’idée c’est surtout de ne pas finir au sol, rester le plus mobile possible d’où l’intérêt du cardio et trouver une façon de fuir. Si c’est vraiment tendu, il est intéressant de passer en mode ultraviolence pour faire changer la peur de côté. Impacter fort pour détruire afin de travailler sur la psychologie des autres attaquants.
Les points suivants seront traités avec les donateurs pour les remercier de leurs soutiens. Nous accèderons également à la vidéo complète pour en discuter. Rejoins-nous !
Les vêtements offrent un minimum de protection. Une veste en cuir va freiner un peu la lame par exemple. Une chaussure fermée aussi lors d’un coup de pied.
Ce que tu portes doit te permettre de courir, combattre, bouger facilement. Prends donc des chaussures fermées et confortables. Niveau pantalon j’adore les jeans avec énormément d’élasthanne. Tu peux faire le grand écart avec facilement. Idéal pour utiliser tes jambes.
Personnellement, je porte les jeans de chez uniqlo de la gamme relax.
https://www.uniqlo.com/fr/fr/product/pantalon-en-jean-relax-longueur-78eme-455895.html
Pour les éléments de protections un peu particuliers et les tenues spécifiques, nous en parlerons dans la version director’s cut de cet article pour les donateurs qui s’ajoutent à la fin.
Il n’existe pas beaucoup d’outils capables d’arrêter un forcené avec une arme durant un périple meurtrier. Même l’arme à feu ne stop que très rarement sur l’instant.
Pour un civil en France, impossible de porter un fusil d’assaut dans le dos en permanence. En plus c’est vraiment très chiant au quotidien…
Même une arme de poing s’avère contraignante au jour le jour. Elle nécessite une discipline, des habitudes d’habillage, de déplacement, une attitude etc.
Il ne reste donc que des palliatifs comme la lampe tactique, le stylo ou au domicile la lacrymo. Bien entendu ce ne sont pas des solutions magiques mais bel et bien des petits plus.
Niveau lampe j’aime beaucoup la marque Nitecore. Dans une optique combat, je te conseille la P20IX à 4milles lumens
https://undersurvival.com/produit/lampe-tactique-defense-4000lumens/
Le stylo tactique reste un outil mieux que rien mais largement moins efficace qu’un couteau. Voici un modéle que j’aime tout particulièrement https://undersurvival.com/produit/stylo-tactique-defensif/
Les impacts tools vont venir durcir une frappe. Ca améliore la douleur infligée mais la encore ca nécessite d’être au contact. A la limite les kuba kicks permettent l’usage des jambes tu les trouves ici: https://undersurvival.com/produit/kuba-kickz-outil-dimpact-pour-chaussures/
Et pour la main: https://undersurvival.com/produit/impact-tool-porte-cle/
Enfin les outils brise vitre comme le bracelet oscar delta peuvent être très utiles pour sortir rapidement d’un véhicule. https://undersurvival.com/produit/bracelet-brise-vitre-oscar-delta-x3/
Tu portes un sac à dos avec une plaque rigide comme bouclier (tu va le voir juste après ;p ). Autant y ajouter un trauma kit pour gérer les blessures que tu peux trouver sur undersurvival.com
Dedans il va te falloir:
Tu peux aussi trouver une version d’entraînement ici :
https://undersurvival.com/produit/traumakit-dentrainement/
Pour aller plus loin, nos livres balistique lésionnelle et memento attentat sont des valeurs sûres:
https://undersurvival.com/produit/memento-primo-intervenant-attentat/
Ensuite, l’outil de base c’est le sac à dos dans lequel tu glisses une plaque en métal, kydex, un ordinateur portable, un grand livre.
Le but ici c’est de protéger ton dos quand tu as le sac sur toi. Ça peut te sauver si le mec arrive par derrière et ne vise pas la gorge.
L’autre usage c’est de t’en servir comme bouclier.
Si tu as les moyens tu peux aussi glisser une plaque anti couteau et ou balistique. Sa tombe bien, on en rentre très bientôt sur Undersurvival.com
En sac de petite taille va voir ici: https://undersurvival.com/produit/sac-a-dos-tactique-noir/
Se servir de l’environnement, être rusé, sortir de l’axe vont être des basiques à garder en tête.
Mieux vaut connaître trois techniques et s’entraîner souvent que de se perdre sur 30 clés de bras de la mort qui tue.
Ici, face à une lame, il faut garder de la distance pour éviter de se faire planter au maximum.
Le front kick, s’il est maîtrisé, marche bien. Il faut armer le plus vite possible ses mains. Autant avec des outils comme une lampe tactique, lacrymo qu’avec une chaise, un sac que l’on met en barrage.
Pense à mettre des obstacles entre toi et l’agresseur. Une barrière, un banc, une table.
Garde à l’esprit que face à un couteau tu vas être blessé. Ce n’est que dans les films ou tu défonces un mec avec un couteau tranquille. Le but c’est de minimiser les dégâts. Protège donc tes zones vitales comme l’intérieur de tes avant-bras, gorge, aisselles, aine etc.
Alphac nous demande: Comment arrêter un mec comme ça en tant que passant.
C’est très compliqué. Un passant n’a rien de vraiment efficace sur lui pour gérer la situation. Il faut surtout se protéger au maximum. Utiliser un sac en bouclier avec dedans un élément solide, jeter des objets lourds. Gourde en métal, pavé qui traîne. Utiliser l’environnement comme des tabourets, verres etc.
Utiliser une veste ou une ceinture pour fouetter. C’est beaucoup de débrouille en fait. L’idéal étant de cibler d’autres passants pour se mettre en groupe dessus. L’idée d’aller chercher des extincteurs marche bien en fonction du lieu. Bâtons de marche etc.
ALL nous demande: On voit parfois des vidéos de mec qui porte des chemises ou des vestes qui résistent aux coups de couteaux (askip) est ce que c’est vraiment possible ? Qu’est ce que ça vaut ? Est ce que c’est abordable niveau tarif pour le plus grand nombre de personnes potentiellement victimes ?
Il existe effectivement des vêtements anti coupures mais les versions discrètes protègent bien souvent uniquement de la taille. Pour gérer une frappe pic à glace, il faut partir sur des éléments rigides.
Ce sont des protections chères qui sont compliquées à porter en été si l’on veut rester complètement protégé. Le visage est malheureusement toujours découvert.
C’est une solution envisageable mais qui ne doit pas provoquer une sur confiance en soi.
Arleatir nous demande: Tu recommandes quoi comme livre pour le secourisme aux enfants? Le matos ?
Et pour aller plus loin, comment tu sensibiliserais des enfants à ces risques ?
je recommande surtout de suivre des formations en vrai comme le PSC1, SST. Certains bouquins comme mémentos primo intervenants et balistiques lésionnelles présent sur undersurvival.com sont bien mais se former c’est la base. Les livres ne doivent venir qu’en complément. Il faut également s’entraîner régulièrement.
Concernant les enfants, l’idéal reste d’apprendre par le jeu. Tu peux faire des mises en situation pour leur apprendre à mettre en PLS. Créer des histoires de grands héros et de choses fantastiques. Ensuite tu utilises l’histoire comme prétexte pour leur apprendre les choses.
Tiens, tommy a-tu repéré les sorties de secours. Elles sont où ? Les extincteurs ? Ah bien ! Félicitations ! Pour la peine, tu peux demander une glace au serveur.
la ludification c’est ce qui marche le mieux !
Contrairement aux médias classiques, nous avons ici informé sur une situation d’actualité très grave d’une attaque au couteau à Annecy mais surtout nous avons dépassé le simple constat pour te donner des clés de compréhension et des axes d’amélioration afin de te faire vivre plus longtemps.
En plus d’avoir passé un bon moment auprès de la Undersurvival Compagnie, tu as surtout bien utilisé ton temps. Tu en ressors donc grandi !
À présent, je te laisse passer le flambeau à tous ceux que tu aimes. Envoie leurs nos contenus parce que souviens toi, quelques minutes de ton temps peuvent sauver des vies à commencer par la tienne et c’est déjà pas mal.
À présent, c’est aux donateurs d’entrer dans la chambre des secrets ou nous allons pouvoir aller encore plus loin.
Merci à sgtalfasierra pour l’aide apportée https://www.instagram.com/sgtalfasierra/
Pour aller plus loin: https://www.youtube.com/@BricePostal
Protegor: https://www.youtube.com/@protegor
Une chaine d’armes à feu Française: https://www.youtube.com/@mickarmement/videos
On Thursday, June 8, 2023, in Annecy, during the morning hours, a 31-year-old Syrian refugee attacked children, mothers, and random people in a park with a knife. He injured six people, including four children, two of whom are in critical condition. The victims ranged from 22 to 36 months old for the toddlers. A 78-year-old grandfather was injured by the knife and then by a police bullet when they attempted to apprehend the assailant.
The individual arrived in France in 2022. His application to stay in the country was denied. He does not speak French but knows English and is homeless. Apparently, he has not consumed any drugs. He is a former Syrian military personnel who served at the beginning of the civil war.
Already, when you go to a country and go through administrative procedures to live there, learning the language is the minimum requirement. The Syrian has been here for eight months and doesn’t speak any French at all.
In one year, it is entirely possible to acquire the basics to be able to communicate. All you need to do is use applications like Duolingo, watch movies in the original version with subtitles, and put in the effort.
Even though, in this case, the attacker’s situation was complex. He is a homeless person in deep depression. His ex-wife chose to stay in Sweden when he was deported. So he finds himself alone, on the streets, with his requests being denied.
In France, we have a migration policy that is much less harsh than in some countries like Canada. The problem is that welcoming people is one thing, but providing real psychiatric support is another. Here, we have an individual in distress who is not being managed by the community. There is, therefore, a huge lack of resources to provide support in addition to simply welcoming them.
Since the Woke movement and even before, welcoming poor refugees from war-torn areas has been seen as something charitable, normal, and deeply compassionate. However, the problem is that those who speak in these terms often live in affluent neighborhoods in Paris, in a secure country where violence is much more limited than in other parts of the world.
Helping people is a good thing, but here we are confronted with a population that has experienced or been subjected to atrocities. They have a different relationship with violence.
We are faced with a clash of cultures. The state of bewilderment, apathy, and incomprehension that can be seen on the faces of passersby and victims is induced by this secure environment. We are not in a war zone, but more importantly, we are not exposed to risks. Firefighters and the police intervene quickly, and as soon as there is violence, it is quickly erased. By relying on others to do the dirty work, people become unaware of potential dangers. They become complacent to the point of not even understanding what is happening.
Our work, at Undersurvival Company, is to help you get through it. To do this, we will analyze the scene and provide solutions to break free from this widespread apathy and, above all, to not dwell on negativity.
He is using a large knife, which gives him a long reach. When he swings his arm, it’s equivalent to a leg strike considering the added length of the blade. So if you try to defend yourself with punches, you might be at a disadvantage. It should be noted that at one point he carries an ice pick, which reduces his reach but increases the striking power.
He is wearing shorts, a black sweater, and a bandana on his head, along with sunglasses and white sneakers. Since he is lightly dressed, the probability of him wearing a suicide vest or a shoulder-fired weapon can be reduced.
It should be noted that the ability to conceal weapons is often underestimated. I encourage you to watch videos of people demonstrating that they are carrying a shotgun along their leg, for example. So he could very well have a handgun.
He is holding a necklace, specifically a cross, and repeatedly saying “Jesus Christ.” This potentially indicates a religious fanatic attack.
He is running in a random manner and not moving tactically or thoughtfully. This suggests that he is not acting like a professional with weapons.
All the details mentioned here help assess the situation. The devil is in the details.
They don’t understand what’s happening because they are in a state of shock. (see the rest of the article) They are not aware of things; it feels unreal. It’s something that shouldn’t happen, so their brains are overwhelmed. Additionally, strollers and walls prevent the mothers from escaping.
The stroller becomes a hindrance when trying to flee. It’s therefore important to consider what we use in our daily lives. See EDC (Everyday Carry) and EDB (Everyday Bag) in the glossary.
However, we shouldn’t blame them. No one can predict how they would react. If someone says, “Oh, I would have done this and that,” they don’t even understand what they’re talking about. Even the best special forces can freeze. Our reactions can vary from one day to another.
Our thoughts are with the victims and their families. Strength and honor.
A 24-year-old individual tries to stop the assailant. A huge bravo to this person.
He uses his backpack as a shield, which is a very good instinct. Despite the stress, he keeps a heavy 20 kg bag on his back in addition to using it as a shield. It’s also interesting, if possible, to drop the heavy bag to be more mobile.
By the way, fighting with a bag changes your center of gravity. It’s not something you can improvise.
Filming as a first instinct. Videos of the attack are easily found, which is useful for debriefing, but it should not be the first thing to do. The priority should be to alert the emergency services, who arrived very quickly. If possible, intervene as a group against the assailant and also attend to the injured.
Moreover, it is noticeable that some people don’t even realize what is happening. They fail to see what is right in front of them, despite the cries for help.
The argument of helping the police identify the individual is secondary given the area. There are cameras everywhere.
Four minutes to intervene is really very little. Those who say otherwise don’t know what they’re talking about. Even ten minutes to intervene is very fast.
Moreover, police officers do not face this kind of situation every day. It’s exceptional and difficult to manage.
I would like to salute their work and their intervention. Power to them.
Regarding the shot received by the elderly person, it’s very difficult since the attacker was already in contact and had just stabbed the victim. Without that shot, he could have continued and inflicted even more damage.
We remind you that the individual is attacking several people, including babies, and the absolute urgency is to stop his actions.
It is always easier to analyze the images in a calm state. On the ground, it’s chaos. We don’t know the exact number of attackers or the details of what’s happening. Everything is blurry. This is the principle of the OODA loop or Boyd’s cycle: Observe, Orient, Decide, Act.
The attacker has the initiative. He chooses when to start. By the time he launches his attack, he is already at the end of his loop, while you, on the scene, are just starting yours. You are therefore behind. Add to that the increase in heart rate, adrenaline, loss of fine motor skills, tunnel vision, people screaming, and it becomes a perplexing cocktail of confusion.
Furthermore, the knife is very discreet. It doesn’t make noise, and it’s hard to spot when you’re far away. The deranged individual is dressed normally, blending in with the crowd, which complicates the intervention.
When I discussed the situation on Discord, I was immediately told about John Wick-style protective vests. The primary reflex was to find a material solution to survive. However, equipment is the last resort in risk management. We end up with people starting with the end of the story.
Instead of looking for a tool, we should first learn the basics. Understand the mechanisms of violence, the types of aggressors, how aggression works, and then establish strategies. Develop reflexes as well as physical capabilities.
The first strategy is analyzing the environment and adjusting your level of vigilance. It’s impossible to maintain a state of maximum alertness 24/7 as it can be very tiring for the body. Instead, one should be vigilant based on the circumstances and demonstrate adaptability and flexibility.
Imagine yourself as a submarine with a sonar system that scans everything around you. When you are in a secure environment, such as being at home with the doors locked, you are in what is called a white code. When you are outside of your home, you transition to a yellow code.
As soon as you notice something with your “sonar,” such as a suspicious individual, a fast-approaching car, a group of people, a noise, or an unusual smell, you shift to an orange code. It’s important to note that the trigger for changing your level of vigilance is not limited to visual stimuli. A shout, an explosion, or the smell of something burning can also serve as indicators for adjusting your level of alertness.
The red code is when the situation escalates into insults and physical violence, indicating an actual aggression. The black code is a state of overwhelming shock or surprise, often occurring when transitioning from a white code to a confrontational situation for which one is unprepared. It represents an extreme danger, such as a terrorist attack.
I just briefly introduced Jeff Cooper’s color code to you. If you carry defensive tools with you, especially if you are an undercover police officer, for example, it is interesting to add reflex movements during level transitions.
For example, when you switch from yellow to orange, discreetly grip your tool or check its proper position, and analyze potential dangers around you.
If there is a staircase, a ledge, a pole, or potentially dangerous individuals, as well as usable objects or things to put between yourself and the aggressor, take note.
When transitioning from orange to red, adopt a passive stance, keep your gaze mobile to avoid tunnel vision, tighten your jaw to prevent it from being dislocated in a strike, maintain distance, etc.
Now that you know how to remain vigilant, you will also need to work on your posture and movement to avoid looking like a victim. Your demeanor and ease while moving could potentially save your life.
But for that, it’s important to understand that not all attackers are the same.
I invite you to explore the work of Michaël Illouz, Brice Portal, Protegor, and others who discuss these topics very well. The books “Neurocombat Volume I and II” are incredibly useful for understanding.
To simplify, there is predatory violence, like a hunting wolf. The predator seeks quick gain, such as stealing or assaulting you. They look for a victim, a prey whose risk-benefit ratio is in their favor.
To do this, they base their assessment on your gait, attire, physical condition, age, size, and attitude.
Engaging in sports can increase the perceived potential risk for our first type of aggressor. For the rest, you will need to fake it until you make it. Walk with your head held high, stand tall, scan your surroundings slowly, and remember that charisma is often defined by the slowness of your movements. Be flexible, occupy space, and move with anticipation.
Learn to project your voice. Make it powerful when necessary, but above all, clear and understandable.
The goal to escape is to convince the aggressor that the risk-benefit ratio is not in their favor.
The second type of aggressor is the emotional rather than asocial predatory one. They are impulsive. Unlike a predator who thinks, the impulsive individual is not at all reflective, and that’s where the danger lies.
They are governed by their emotions. They feel attacked, humiliated, and may overreact, causing serious injuries.
These are the types of people who might pull out a blade because they lost a verbal exchange or were kicked out by a bouncer. They want to restore their honor.
They do not think about the consequences and do not pick up on danger signals. Unfortunately, it is not possible to negotiate or reason with such individuals.
There are also group violence situations that are more complex, with one or more leaders, followers, and a stimulation of the masses. Attackers feel their responsibilities diluted within the group. As a result, the strikes are often more violent, like a famous penalty kick to the face. Each individual wants to strike to show that they are part of the community and strong. It is a very difficult situation to manage.
The main idea is to avoid ending up on the ground, stay as mobile as possible (hence the importance of cardio), and find a way to escape. If things become extremely tense, it may be necessary to switch to ultraviolence mode to shift the fear onto the attackers. Deliver impactful strikes to disrupt and psychologically affect the other attackers.
The following points will be discussed with the donors as a token of appreciation for their support. We will also have access to the full video for further discussion. Join us!
Tunnel vision, loss of fine motor skills, fixation of gaze Tactical square breathing, visualization Probability (striking the face, right-handed, ice pick grip, protecting vital areas)
Clothing provides a minimum level of protection. For example, a leather jacket can slow down a blade, and closed-toe shoes can offer some protection during a kick.
What you wear should allow you to run, fight, and move easily. So, opt for closed and comfortable shoes. When it comes to pants, I love jeans with a lot of elastane. You can easily do splits with them, which is ideal for utilizing your legs.
Personally, I wear the relaxed-fit jeans from Uniqlo’s collection. https://www.uniqlo.com/fr/fr/product/pantalon-en-jean-relax-longueur-78eme-455895.html
As for specific protective gear and specialized clothing, we will discuss them in the director’s cut version of this article, available to donors who contribute at the end.
There aren’t many tools capable of stopping a rampage from a deranged individual with a weapon. Even firearms rarely stop the threat instantly. For a civilian in France, it’s impossible to carry an assault rifle on their back at all times. Besides, it’s quite inconvenient in daily life…
Even a handgun can be cumbersome in everyday situations. It requires discipline, dressing habits, movement considerations, and a certain attitude.
Therefore, there are only alternatives like a tactical flashlight, a tactical pen, or pepper spray for home defense. Of course, these are not magical solutions but rather additional aids.
For flashlights, I really like the Nitecore brand. In a combat-oriented context, I recommend the P20IX with 4000 lumens.
https://undersurvival.com/produit/lampe-tactique-defense-4000lumens/
A tactical pen is a better-than-nothing tool but far less effective than a knife. Here’s a model I particularly like: https://undersurvival.com/produit/stylo-tactique-defensif/
Impact tools can enhance the force of a strike. They increase the inflicted pain, but they still require physical contact. As for the Kuba Kicks, they allow for leg strikes. You can find them here: https://undersurvival.com/produit/kuba-kickz-outil-dimpact-pour-chaussures/
And for hand strikes: https://undersurvival.com/produit/impact-tool-porte-cle/
Lastly, window-breaking tools like the Oscar Delta bracelet can be very useful for quickly escaping from a vehicle.
Oscar Delta, bracelet brise vitre. Pack de 3.
You carry a backpack with a rigid plate as a shield (you’ll see it right after ;p ). Might as well add a trauma kit to manage injuries that you can find on undersurvival.com.
Inside, you’ll need:
A hemostatic agent like Chito Gauze XR Pro to stop bleeding. https://undersurvival.com/produit/chitogauze-xr-pro/
An Israeli T3 or Olaes compression bandage. https://undersurvival.com/produit/pansement-olaes/
A SICH or CAT tourniquet for severe injuries (e.g., explosion). https://undersurvival.com/produit/garrot-tourniquet-c-a-t-gen-7-orange/
Garrot Tourniquet SICH
HH gauze bandage for wound packing in case of multiple victims. https://undersurvival.com/produit/bande-de-gaze-compactee-hh/
Sharpie marker to note item placement information. https://undersurvival.com/produit/marqueur-permanent-sharpie/
CPR mask. https://undersurvival.com/produit/masque-bouche-a-bouche/
Chest seal. https://undersurvival.com/produit/pansement-thoracique-h-vent/
Burn dressing. https://undersurvival.com/produit/pansement-pour-brulures-burntec-10x10cm/
Emergency whistle to attract attention. https://undersurvival.com/produit/sifflet-durgence-orange/
A waterproof notebook to record injuries, etc. https://undersurvival.com/produit/carnet-etanche-terrain/
You can also find a training version here: https://undersurvival.com/produit/traumakit-dentrainement/
For further information, our books “Ballistic Lesions” and “Attentat Handbook” are reliable resources:
https://undersurvival.com/produit/memento-primo-intervenant-attentat/
The next tool is the backpack in which you insert a metal plate, kydex, a laptop, or a large book. The purpose here is to protect your back when you have the backpack on. It can save you if someone attacks from behind and doesn’t aim for the throat. The other use is to use it as a shield. If you can afford it, you can also insert an anti-stab and/or ballistic plate. Good news, we will soon have them available on Undersurvival.com. For a small-sized backpack, check here: https://undersurvival.com/produit/sac-a-dos-tactique-noir/
Using the environment, being clever, and moving out of the line of attack are essential concepts to keep in mind. It’s better to know three techniques and practice them frequently than to get lost in 30 deadly arm locks.
When faced with a blade, it’s crucial to maintain distance to minimize the risk of being stabbed. The front kick, if executed properly, can be effective. It’s important to quickly arm yourself with tools such as a tactical flashlight, pepper spray, or even using objects like a chair or a bag as a barrier.
Remember to create obstacles between yourself and the attacker, such as a fence, a bench, or a table. Keep in mind that when faced with a knife, you are likely to get injured. It’s not like in the movies where you effortlessly defeat someone with a knife. The goal is to minimize damage, so protect vulnerable areas like the inside of your forearms, throat, armpits, groin, etc.
Community Questions
Alphac asks: How can a bystander stop someone like that?
It’s very complicated. A bystander doesn’t have anything really effective on them to handle the situation. The main focus should be on self-protection. Use a bag as a shield with a solid object inside, throw heavy objects like a metal water bottle or a nearby paving stone. Use the environment, such as stools or glasses, as improvised tools. Use a jacket or belt to whip. It’s mostly about resourcefulness. Ideally, try to gather other bystanders to form a group. Depending on the location, retrieving fire extinguishers or walking sticks can be effective.
ALL asks: Sometimes we see videos of people wearing shirts or jackets that can resist knife attacks (supposedly). Is it really possible? How effective is it? Is it affordable for the majority of potential victims?
There are indeed cut-resistant garments, but discreet versions often only protect the torso. For dealing with ice pick-style stabs, rigid elements are needed.
These protective garments are expensive and can be challenging to wear, especially in summer if you want complete protection. Unfortunately, the face is still exposed. It can be a viable solution but should not create overconfidence.
Arleatir asks: What book do you recommend for pediatric first aid? What about the equipment?
I primarily recommend attending real-life training courses like PSC1 (French first aid certification) or SST (First Aid at Work). Some books like “Memento Primo Intervenant” and “Ballistic Lesions” available on undersurvival.com are useful, but training should be the foundation. Books should only supplement practical training, and regular practice is essential.
When it comes to children, it’s best to teach through play. You can create scenarios to teach them how to place someone in the recovery position (PLS) or come up with stories about superheroes and fantastic situations. Then, you can use the story as a pretext to teach them important things.
For example, Tommy, can you spot the emergency exits? Where are they? And what about the fire extinguishers? Well done! As a reward, you can ask the server for an ice cream.
Gamification is highly effective!
Unlike mainstream media, we have informed you about a very serious current situation. But more importantly, we have gone beyond mere observation to provide you with keys to understanding and avenues for improvement, in order to help you live longer.
In addition to having a great time with the Undersurvival Company, you have made excellent use of your time. You come out of it having grown!
Now, I pass the torch to all those you love. Share our content with them because remember, a few minutes of your time can save lives, starting with your own, and that’s already quite significant.
Now, it’s up to the donors to enter the Chamber of Secrets where we can go even further.
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